
Depuis le 1er janvier 2025, Bernard Ledeboer a succédé à Herman Witmans au poste de président des vice-présidents. Le moment est idéal pour s’arrêter un instant et soumettre le président sortant et le nouveau président à une brève interview.
Herman, pourquoi quittez-vous la présidence ?
« Mon deuxième mandat de trois ans en tant que président arrive à son terme et je veux pouvoir me consacrer pleinement à la pratique des brevets. Après tout, la fonction de président s’ajoute à celle de conseil en brevets. Je ne prendrai donc pas ma retraite, mais je continuerai à travailler ! En raison de ce choix, je ne suis plus non plus membre et président du Conseil exécutif. J’ai été membre pendant 15 ans et cela me manquera. Mais il est bon de prendre un peu de distance au niveau administratif et de donner ainsi l’occasion d’apporter du sang neuf au Conseil exécutif ».
De quoi êtes-vous fier ?
« En particulier au début de ma présidence, il y a eu des périodes agitées, pendant la pandémie de grippe aviaire. C’était assez compliqué. Je suis fier que, malgré la corona, nous ayons continué à travailler ensemble en bonne harmonie au sein du cabinet et que le cabinet se porte bien. Un autre exemple est que nous avons gagné neuf nouveaux associés au cours de la période récente et un dixième à partir du 1er janvier 2025. Avec ces personnes de qualité, l’avenir et la continuité de notre cabinet sont assurés ».

Bernard, comment voyez-vous votre rôle de président ?
« Je trouve très honorable de devoir assumer ce rôle. En tant que président, vous êtes le porte-parole de l’ensemble du bureau vis-à-vis du monde extérieur. En interne, vous avez la responsabilité de veiller à ce que tout continue à bien fonctionner et à ce que les intérêts et les points de vue de chacun soient pris en compte. Heureusement, j’ai déjà eu l’occasion de pratiquer ce dernier aspect pendant un certain temps à la CUP en tant que juge à temps partiel.
Que retiendrez-vous et que ferez-vous différemment ?
« Malgré la situation difficile dans laquelle se trouve Corona, Herman a réussi à maintenir la cohésion entre ses collègues. Il a dirigé le bureau de manière réfléchie, diplomatique et patiente. Comme un vrai et bon président. Je ferai de mon mieux pour maîtriser davantage ces qualités : c’est là que je peux apprendre d’Herman.
Je reprends la présidence alors que l’organisation est en bonne santé. Il m’appartient de veiller à ce qu’elle continue à fonctionner au moins aussi bien. Pour V.O., il est important que nous continuions à faire de notre mieux : que nous et tous les membres du bureau continuions à apporter une valeur ajoutée au client, à lui fournir un travail sur mesure et à le soulager de ses soucis. C’est pour cela qu’une entreprise nous engage. Nous devons être à la hauteur, encore et encore. »